L’AFP condamne l’expulsion de son directeur en Algérie

Le directeur du bureau de l’AFP à Alger, Aymeric Vincenot, dont les autorités algériennes avaient refusé ces derniers mois de renouveler l’accréditation, a été expulsé mardi soir, alors même que l’actuelle vague de manifestations montre le rôle indispensable joué par les journalistes pour permettre au monde de comprendre la situation dans ce pays.

Le directeur du bureau de l’AFP à Alger, Aymeric Vincenot, dont les autorités algériennes avaient refusé ces derniers mois de renouveler l’accréditation, a été expulsé mardi soir, alors même que l’actuelle vague de manifestations montre le rôle indispensable joué par les journalistes pour permettre au monde de comprendre la situation dans ce pays.
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L’AFP approuve ses comptes 2018

Au cours de sa réunion du 10 avril 2019, le Conseil d’administration de l’AFP a approuvé les comptes de l’exercice 2018 à l’unanimité. Ceux-ci se traduisent par une croissance des recettes commerciales pour la première fois depuis 2014, grâce notamment au développement rapide de la vidéo. La perte nette de l’Agence s’élève à – 2,6 M€.

Au cours de sa réunion du 10 avril 2019, le Conseil d’administration de l’AFP a approuvé les comptes de l’exercice 2018 à l’unanimité. Ceux-ci se traduisent par une croissance des recettes commerciales pour la première fois depuis 2014, grâce notamment au développement rapide de la vidéo. La perte nette de l’Agence s’élève à – 2,6 M€.
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Avec Akhtar jan, l’AFP perd un troisième collaborateur à Kaboul

Le vice-président Dostum s'en est tiré sans une égratignure, mais 23 personnes ont été tuées et 107 blessées dimanche dans l'attentat suicide qui le visait à son retour à Kaboul. Parmi les victimes, un chauffeur de l'AFP, ami de tous, père de quatre enfants.

Le vice-président Dostum s'en est tiré sans une égratignure, mais 23 personnes ont été tuées et 107 blessées dimanche dans l'attentat suicide qui le visait à son retour à Kaboul. Parmi les victimes, un chauffeur de l'AFP, ami de tous, père de quatre enfants.

La FIJ condamne l’assassinat d’un chauffeur de l’AFP à Kaboul et réclame justice

La Fédération internationale des journalistes (FIJ) a condamné jeudi l'assassinat de Mohammad Akhtar, chauffeur au bureau de l'AFP à Kaboul, dans un attentat suicide, et a réclamé que les responsables de l'attaque soient punis.

La Fédération internationale des journalistes (FIJ) a condamné jeudi l'assassinat de Mohammad Akhtar, chauffeur au bureau de l'AFP à Kaboul, dans un attentat suicide, et a réclamé que les responsables de l'attaque soient punis.

Le journaliste monténégrin Jovo Martinovic lauréat du prix Peter Mackler

Le journaliste d'investigation monténégrin Jovo Martinovic, qui a passé près de quinze mois en détention pour avoir enquêté sur les trafics et la corruption dans son pays des Balkans, est le lauréat 2018 du prix Peter Mackler qui récompense le courage et l'éthique journalistique.

Le journaliste d'investigation monténégrin Jovo Martinovic, qui a passé près de quinze mois en détention pour avoir enquêté sur les trafics et la corruption dans son pays des Balkans, est le lauréat 2018 du prix Peter Mackler qui récompense le courage et l'éthique journalistique.

Appel de grands reporters européens en faveur des "droits voisins"

Plus d'une centaine de grands reporters et rédacteurs en chef de 27 pays de l'UE ont cosigné une tribune de leur confrère de l'AFP Sammy Ketz, appelant les députés européens à instaurer des "droits voisins", qui contraindraient les géants du Net à contribuer au financement de la presse.

Plus d'une centaine de grands reporters et rédacteurs en chef de 27 pays de l'UE ont cosigné une tribune de leur confrère de l'AFP Sammy Ketz, appelant les députés européens à instaurer des "droits voisins", qui contraindraient les géants du Net à contribuer au financement de la presse.

Au festival Visa pour l’image, les clichés saisissants d’un monde qui va mal

De la crise des Rohingyas en Birmanie à la guerre oubliée du Yémen, le festival international du photojournalisme de Perpignan Visa pour l'image présente en France, du 1er au 16 septembre, les clichés les plus saisissants d'un monde qui va mal, à l'instar de la profession des photoreporters, de plus en plus précarisée.

De la crise des Rohingyas en Birmanie à la guerre oubliée du Yémen, le festival international du photojournalisme de Perpignan Visa pour l'image présente en France, du 1er au 16 septembre, les clichés les plus saisissants d'un monde qui va mal, à l'instar de la profession des photoreporters, de plus en plus précarisée.
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