Tribune de Fabrice Fries dans Le Figaro
L’AFP ne laissera personne mettre en cause son impartialité.
Alors que l’Agence France-Presse est critiquée pour avoir refusé de qualifier le Hamas de mouvement terroriste, son PDG explique les raisons de ce choix et se défend de tout biais propalestinien.
Par Fabrice Fries, Président-directeur général de l'AFP
L’AFP est visée par une polémique qui l’accuse de biais propalestinien au motif qu’elle se refuse à qualifier elle-même le Hamas de mouvement terroriste. L’accusation est suffisamment grave pour qu’elle appelle une clarification.